Collection Voyeur. La Maison Des Voyeurs. L’Emménagement (1/1)

Comment vais-je faire, comment vais-je apprendre à Véronique que dans quelques jours, nos meubles vont être saisis et que nous allons nous retrouver à la rue, notre dette étant abyssale.
Quand nous nous sommes mariés, il y a trois ans, j’avais un bon et gros job dans une boîte s’occupant de photos, elle a fermé et comme Véronique avait un emploi de secrétaire de direction dans une start-up se développant.
J’ai refusé une mutation en province, sa boîte a valu rapidement une fortune, une plus grosse l’a absorbée, a centralisé les postes et elle aussi est passée à la trappe.

Droit au chômage qui s’arrête, normal, recherche d’emploi, nous ne sommes pas les seules, intérim, mais loyer énorme, charge en rapport et voilà l’avis d’expulsion qui nous arrive.
Je vais à Pôle emploi, après deux heures d’attente une gentille dame me reçoit très compatissante, mais n’a rien à me proposer.
Je ressors, j’ai dix balles en poche, je rentre dans un bar, retardant le moment de retrouver ce logement dont je sais que tout ce qui se trouve à l’intérieur et lui-même ne nous appartient plus.

• Simon, comment vas-tu, tu te souviens de moi, Urbain, nous étions scouts ensembles.
• Urbain, si tu ne m’avais pas dit que c’était toi, jamais je ne t’aurais reconnu.
• J’ai vieilli et j’ai surtout perdu une grande partie de ma tignasse blonde, je me rase le peu qu’il me reste.
• Que deviens-tu, je vois que tu es marié ?
• Oui, avec Véronique, et toi.
• Non, tu es fou, j’aime trop les femmes pour en faire souffrir une toute la vie, tu vois, j’aime ces bars où elles viennent nous draguer, à notre droite, la blonde là-bas avec sa copine rousse, ça fait deux fois qu’elle regarde vers nous, tu m’accompagnes, on attaque.
• Vas-y, je suis fidèle, il y a trois ans que nous sommes mariés.
• Que fais-tu comme travail, tu avais commencé des études pour être médecin ?
• J’ai changé, je suis entré dans une boîte qui a fini par me virer, je suis en recherche d’emploi.


• Et ta femme ?
• Idem, je viens d’aller à Pôle emploi, ils n’ont rien et je suis venu noyer mon chagrin dans l’alcool avec les 10 € qu’il me reste, nous allons nous retrouver à la rue, nous allons coucher dans notre voiture.
J’ai réussi à la soustraire aux huissiers dans la liste qu’ils ont faite en la donnant officiellement à un copain qui a enregistré la carte grise à son nom, je ne suis même pas sûr qu’il me la rendra, quand on ait dans la merde, ces genres de copain sont capables de vous trahir.
• Puis-je te poser une question indiscrète ?
• Au point ou j’en suis de mes confidences, oui.
• Baisez-vous souvent avec Véronique ?
• Pour être indiscrète, ta question est directe, mais je vais te répondre, au moins une fois par jour.
• Alors, ça marche, je viens de mettre en place un nouveau concept sur Internet,

« La maison des voyeurs »

• Je loue douze logements dans Paris, je fais les travaux nécessaires pour pouvoir mettre des caméras, je trouve des couples, j’en ai déjà huit et ils emménagent.
Je cherche encore quatre couples, vous avez le logement gratuit et suivant les contrats que je signe une participation chaque mois au chiffre d’affaires, certains de mes couples vedettes qui ont le maximum de connexions se font 4 000 à 5 000 € par mois.
Seriez-vous intéressé ?

Dix jours plus tard, nous entrons dans un appartement dans un immeuble moderne donnant sur la Seine, spacieux, trois pièces avec caméras et une pièce avec un lit une place, un ordinateur sur un bureau sans caméra, mais fermant à clef de l’intérieur.
Je passe la difficulté que j’ai eu à faire admettre à Véronique de venir nous exhiber devant des voyeurs évitant ainsi la rue et espérant même gagner de l’argent.

• Simon, partons, l’appartement est beau, mais les caméras que nous voyons me font peur, quand j’ai accepté de venir, je pensais trouver la force, mais devant tous les yeux indiscrets qui nous matent, je craque.


En disant cela, Véronique quitte le salon et va se réfugier dans la pièce que j’appellerais neutre.
Je ne vois qu’une chose à faire, j’enlève mon polo, montrant ma musculature, nos ennuis d’argent m’ayant empêché de le renouveler, ne plus soulever de fonte est un manque comme les alcooliques ou les addicts au sexe qui en sont privés.
Je démarre la télé, nous avons même Canal+, il passe un film en Replay, avec des scènes qui me permettent de passer ma main dans mon slip et de commencer à me masturber.

• Mon chéri, laisse-moi faire, je vais faire un effort, j’ai vu sur l’ordinateur que tu avais envie.
• Sur l’ordinateur ?
• Je t’expliquerais.

À ce moment, elle sort ma bite de sa protection avant de me faire une très belle fellation, elle ne va pas jusqu’à me faire éjaculer, elle se lève se met nue et s’allongent les cuisses bien écartées.
Je me vautre sur elle, lui enfonçant ma verge dans sa chatte accueillante comme à son habitude, je suis content qu’elle accepte de se faire baiser devant les caméras.
Je dois apprendre à être professionnelle, dans le salon, deux caméras, l’une payante, l’autre pour appâter le client, Urbain m’a bien expliqué d’avoir en tête quelques minutes gratis, le reste de nos copulations tarifées pour les voyeurs.

La chambre est couverte par deux caméras donnant des angles différents, mais quand nous baiserons là, les pépettes tomberont.

C’est ce que nous faisons, je la pénètre et d’un coup, je la soulève pour la porter sur la couche aux caméras payantes, je suis content, je suis sûr que l’œil qui regarde mon trou de balle, doit voir ma verge entrer et sortir.
J’espère qu’ils en ont pour leur argent, j'éjacule et Véronique à un petit orgasme.

• Tu vois ma chérie, c’est facile, on baise, on a du plaisir, on a un logement gratuit et à la fin du mois nous pourrons rembourser une petite partie de nos dettes.

Jusqu’à la fin du mois, nous baisons régulièrement, sans s’en rendre compte, on oublie les caméras et nous devenons un couple normal.

Mon téléphone sonne, c’est Urbain, c’est l’heure de la paye, combien avons-nous gagné ?
C’est dans la pièce neutre qu’il nous rejoint.

• Très bien mes amis pour un premier mois surtout toi petite Véronique, tu as pris sur toi, voilà pour vous, 2 020 €.
• C’est tout, pourtant nous avons filmé nos ébats tous les jours sauf quand ma femme a eu ses règles, je me suis masturbé sur elle et elle m’a sucé, la dernière fois, c’était dans la salle et elle a même fait voir mon sperme dans sa bouche à la caméra.
• J’entends bien, Simon, vous avez fait des efforts, je regarde tout de mon PC avec mes collaborateurs, mais un couple qui baise, c’est commun.
Samedi soir, c’est le jour où les voyeurs payent pour la journée, il serait bon que vous receviez un couple de nos amis, ils savent comment faire venir les yeux indiscrets.
• Il nous suffit de les recevoir !
• Vous ferez les courses pour préparer un petit en-cas, prévoyez quelques bouteilles de vin, Victoria se motive en picolant et est impayable quand elle a absorbé de l’alcool.
Je suis sûr qu’avec des soirées comme celle-là, vous allez doubler le temps de vue de vos caméras.

Victoria est arrivée seule, Alain son mari a eu un empêchement, nous nous sommes embrassés comme si nous étions des amis de longue date, et rapidement après quelques verres, et des petits toasts, nous attendions que Victoria nous propose quelque chose.
Je sentais Véronique tendue, mais elle semblait prendre goût à ces situations qui nous apportaient du piment dans notre couple.

• Si nous faisions un strip-poker.
• Cela se joue comment ?
• J’ai amené des cartes et des jetons, nous en aurons dix chacun, chaque partie celui qui perd ôte un vêtement, la première, ou le premier qui est nu, s’il perd de nouveau est soumis à un gage par le gagnant.
Tant que nous avons des vêtements, on est intouchable.
Vous savez jouer au poker.

La partie est acharnée, c’est Véronique qui est nue la première et doit recevoir un gage par Victoria.


• Pour un premier gage, je veux être gentille, Véronique raconte nous une situation insolite où tu t’es trouvé et que tu n’as jamais révélée à Simon.
• C’est dur, surtout que j’aie une idée bien précise de ce qui m’est arrivé, tu sais mon chéri, je ne t’ai rien dit, car ce n'était qu'un banal accident.

Quelle révélation va-t-elle me faire, suis-je cocu, j’attends avec impatience.

• C’était il y a deux ans, un an après notre mariage, au moment des soldes, je cherchais une place sur le parking du super marché, j’en ai trouvé une vers l’arrière où peu de personnes ne se garent, car après, il faut pousser les chariots pleins.
Je suis descendu, j’ignore comment j’ai fait mon compte, mais je me suis trouvée à moitié sortie de la voiture, coincé par ma ceinture sans l’impossibilité de me dégager.
Une voiture est arrivée et un grand black que j’avais déjà vu, car il s’occupait de la surveillance s’est approché.

Merde, je suis cocu et avec un noir, je me souviens de ce mec, s’il l’a baisé, il a dû la défoncer et depuis, je suis ridicule avec mon sexe de taille normal.
J’irai bien lui casser la gueule, mais il a dû être viré où être parti, car je ne le vois plus.

• Alors petite dame, on a des soucis, on va vous aider.
• Au début, c’est très correctement qu’il a essayé de me dégager, un de mes seins s’était échappé de mon chemisier, je n’avais pas mis de soutien-gorge à cause de la chaleur.
À un moment, sa main est venue déçue et il s’est mis à le caresser, son regard est venu sur les miens et nos regards ont été intenses, sa main est descendue vers mon bas-ventre qui lui aussi dans la position où j’étais, montrait le string que je portais.
En baissant les yeux, je voyais cette grosse paluche passer sous l’élastique et ses doigts très agiles, je dois dire, venir me caresser.
Je n’arrivais pas à retirer mon regard de ses yeux noirs eux aussi, il devait faire des travaux qui lui arrachaient les doigts, car je sentais des callosités sur mes parties tendres et là, et là, j’ai joui quand il m’a caressé mon clitoris.
Excuse Simon, j’ai enfoui ce secret au fond de ma tête, mais c’est un joli moment de mon existence, car à part sa main, il m’a dépêtré et il est parti.
• Jolie confidence Véronique, tu as entièrement rempli ton gage, soirée terminée pour aujourd’hui, je crois que nous nous rêverons bientôt, je dois rejoindre Alain, nous devons nous aussi gagner de l’argent dans notre appartement.

Nous avons eu d’autres aventures, mais le bilan à la fin de ce deuxième mois après notre emménagement est très bon, nos revenus sont montés à 4 340 €, je suis sûr avec les dispositions que montre Véronique et où je me sens prêt à aller que nous ferons mieux.

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